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FORUM AUX QUESTIONS - FAQ Copie du site Stemtech Français http://www.stemtechbiz.fr/StemFAQ.aspx
2. Quelle est la différence entre les cellules souches embryonnaires et adultes ?
3. Pourquoi la presse nous parle-t-elle davantage des cellules souches embryonnaires que des
4. Les cellules souches adultes peuvent-elles se transformer en n'importe quelle cellule du
5. Les produits Stemtech contiennent-ils des cellules souches ?
7. Quel rôle jouent les cellules souches adultes dans le corps ?
8. Quelle est la théorie du renouvellement des cellules souches adultes ?
9. À quelle fréquence les tissus sont-ils renouvelés ?
10. Comment les cellules souches adultes opèrent-elles dans le processus de renouvellement ?
11. Quels sont les bienfaits de StemEnhance pour la santé ?
12. De quoi est composé StemEnhance® et en quoi est-ce différent de l'Aphanizomenon flos-
13. Quel est le principal bienfait de la Mobilin™ ?
14. Quels sont les principaux bienfaits du phényléthylamine (PEA) et de la phycocyanine ?
15. StemEnhance est-il un produit pour végétariens ? Est-il casher ? Est-il halal ? Est-il bio ?
16. StemEnhance est-il un produit génétiquement modifié ?
17. L'Aphanizomenon flos-aquae (AFA) utilisée dans StemEnhance est-elle cultivée ou provient-
18. Quel est l'usage recommandé de StemEnhance ?
19. Quelle est la meilleure manière de prendre StemEnhance ?
20. Quelle est la théorie scientifique derrière StemEnhance ?
21. StemEnhance va-t-il vider ma réserve de cellules souches dans la moelle osseuse ?
22. Que deviennent les cellules souches en circulation si elles n'atteignent pas le tissu qui en a
24. Les cellules souches peuvent-elles mener à des cellules anormales comme le cancer ?
25. StemEnhance est-il approuvé par la FDA ?
Pourquoi l'étiquette de StemEnhance indique-t-elle de consulter un médecin en cas de grossesse ou d'allaitement ? Que se passe-t-il si je tombe enceinte alors que je prends du StemEnhance ?
27. StemEnhance peut-il être pris avec d'autres nutriments ?
StemEnhance peut-il être pris avec d'autres produits de nutrition de cellules souches de
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29. Pourquoi l'étiquette dit-elle que les personnes prenant des anticoagulants doivent consulter
leur médecin avant de prendre StemEnhance et de quels renseignements le médecin a-t-il besoin ?
30. StemEnhance peut-il être pris avec d'autres médicaments ?
31. Une personne sous traitement médical peut-elle prendre StemEnhance ?
32. Une personne peut-elle prendre StemEnhance quel que soit son âge ?
33. Stemtech utilise-t-il des gélules pour végétariens ?
34. La procédure de passage aux rayons que suivent certains services d'expédition endommage-t-
36. Pourquoi la couleur et l'odeur de StemEnhance semble-t-elle changer ? Elle est parfois plus
37. Pourquoi Stemtech a-t-il choisi d'utiliser une commercialisation par réseau pour sa
Autres questions fréquemment posées
• Réponse de Mr. Stephen Barrett de MLM Watch.org et du National Council Against
• Toute l'histoire sur la Microcystine et l'AFA • Analyse des articles concernant la toxicité de l'Aphanizomenon flos-aquae • Qualité et sûreté de l'algue bleu-vert du lac Klamath
1. Que sont les cellules souches ?
Les cellules souches sont les cellules qui ont la capacité de se dédoubler encore et encore et de se transformer en cellules de quasiment tout tissu dans le corps. Il existe deux catégories de cellules souches : embryonnaires et adultes. 2. Quelle est la différence entre les cellules souches embryonnaires et adultes ? Les cellules souches embryonnaires sont des cellules souches qui sont trouvées dans l'embryon et sont responsables de devenir toutes les différentes lignées cellulaires nécessaires au développement du bébé. Les cellules souches adultes sont les cellules souches qui se trouvent dans le corps après la naissance. Jusqu'à récemment, on croyait que les cellules souches adultes ne pouvaient devenir que des cellules sanguines, des cellules osseuses et des tissus conjonctifs. Toutefois, de récents développements ont montré que les cellules souches adultes peuvent devenir quasiment n'importe quelle cellule du corps. 3. Pourquoi la presse nous parle-t-elle davantage des cellules souches embryonnaires que des cellules souches adultes?
Tout d'abord, il existe une controverse sur l'utilisation des cellules souches embryonnaires mais pas sur celle des cellules souches adultes. Du point de vue de la recherche, on pensait que les cellules souches embryonnaires étaient plus utiles en raison de la facilité à les faire croître et à les manipuler en d'autres cellules en dehors du corps (dans un tube à essai). 4. Les cellules souches adultes peuvent-elles se transformer en n'importe quelle cellule du corps ? Oui, de récentes études scientifiques ont montré que les cellules souches adultes peuvent se
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transformer en quasiment n'importe quelle cellule du corps. Par exemple, les cellules souches adultes peuvent devenir des cellules du cerveau, de rein, de cœur, de muscle, etc. 5. Les produits Stemtech contiennent-ils des cellules souches ?
Nos produits ne contiennent pas de cellules souches et ne sont pas associés aux cellules souches embryonnaires ni aux traitements impliquant des cellules souches. 6. Que font les produits de Stemtech ? Les produits de Stemtech promeuvent la libération naturelle et l'activité des cellules souches adultes dans le corps. 7. Quel rôle les cellules souches adultes jouent-elles dans le corps ?
L'institut national américain de la santé (US National Institutes of Health) indique que le rôle des cellules souches adultes dans le corps vise à l'entretien et la réparation des tissus. 8. Quel est l'effet de la circulation des cellules souches ?
La théorie du renouvellement des cellules souches adultes suggère que les cellules souches adultes sont libérées naturellement par la moelle osseuse et circulent dans le courant sanguin et dans les tissus afin de promouvoir le processus naturel de renouvellement des tissus du corps. 9. À quelle fréquence les tissus sont-ils renouvelés ?
Les cellules dans le corps sont constamment renouvelées ce qui signifie que des cellules meurent et d'autres cellules les remplacent, ce qui contribue au renouvellement des tissus. Par exemple : Vos tissus se renouvellent complètement dans le temps :
10. Comment les cellules souches adultes fonctionnent-elles dans le processus de renouvellement ? Lorsque les tissus doivent se renouveler, les cellules souches adultes fonctionnent de la manière suivante :
1. Des messagers sont envoyés par les tissus qui ont des besoins exigeant la libération de cellules souches de la moelle osseuse.
2. Les cellules souches circulent dans le courant sanguin.
3. Les nouveaux messagers attirent les cellules souches pour qu'elles migrent vers les tissus où les cellules souches se reproduisent et se transforment en nouvelles cellules saines de ce tissu.
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11. Quels sont les bienfaits de StemEnhance pour la santé ?
StemEnhance promeut la libération naturelle de vos propres cellules souches adultes de la moelle osseuse dans le courant sanguin. De nombreuses études scientifiques ont démontré qu'une plus grande quantité de cellules souches en circulation se traduit par une meilleure santé. 12. De quoi est composé StemEnhance et en quoi est-ce différent de l'Aphanizomenon flos- aquae pure ?
StemEnhance est un mélange breveté et exclusif complètement naturel de concentrés riches en nutriments d'Aphanizomenon flos-aquae (AFA). Le composant Mobilin™ est riche d'une molécule se produisant naturellement dont il a été démontré qu'elle promouvait la libération des cellules souches adultes. Par contre, l'AFA n'est pas concentrée. StemEnhance est spécifiquement conçu et développé pour promouvoir la physiologie des cellules souches, mais il concentre également d'autres nutriments naturels bénéfiques dont la phényléthylamine (PEA), la phycocyanine, les acides gras polyinsaturés, la chlorophylle, etc. ce qui apporte une aide unique à l'ensemble du corps. 13. Quel est le principal bienfait de la Mobilin™ ?
Le principal bienfait de la Mobilin™ vient du fait qu'elle contient une molécule connue en tant que ligand L-selectine, qui a été documenté dans une étude scientifique publiée (voir FAQ 19) comme promouvant la libération de cellules souches adultes de la moelle osseuse. 14. Quels sont les principaux bienfaits du phényléthylamine (PEA) et de la phycocyanine ?
Le phényléthylamine (PEA), un nutriment se produisant naturellement dans certains aliments tels que l'AFA, a été appelée « la molécule de la joie ». La phycocyanine est un antioxydant. Il a été démontré que le PEA promeut une humeur saine ainsi qu'une clarté et une énergie mentales améliorées. Un des principaux bienfaits du PEA vient du fait qu'il s'agit d'un composé naturel fabriqué par le cerveau dès qu'on se sent heureux. Un des principaux bienfaits de la phycocyanine est le fait qu'elle aide le corps à maintenir un équilibre inflammatoire sain. 15. StemEnhance est-il un produit pour végétariens ? Est-il casher ? Est-il halal ? Est-il bio ? StemEnhance est un produit pour végétariens/végétaliens qui ne contient pas de sucre, colorants artificiels, arômes artificiels, soja, produits laitiers, levure, ni conservateurs. Il est certifié casher et halal Pour consulter les lettres de certification. Le concentré d'AFA de StemEnhance est certifié biologique et est produit dans une installation certifiée biologique. 16. StemEnhance est-il un produit génétiquement modifié ?
Non, StemEnhance n'est pas génétiquement modifié. 17. L'Aphanizomenon flos-aquae (AFA) utilisée dans StemEnhance est-elle cultivée ou provient-elle d'une récolte sauvage ?
L'AFA utilisée pour produire StemEnhance provient d'une récolte sauvage. « Récolte sauvage » signifie qu'elle pousse naturellement.
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18. Quel est l'usage recommandé de StemEnhance ?
L'usage suggéré de StemEnhance est 2 gélules 1 ou 2 fois par jour. 19. Quelle est la meilleure manière de prendre StemEnhance ?
StemEnhance peut être pris à tout moment dans la journée avec des aliments ou pas. 20. Quelle est la théorie scientifique derrière StemEnhance ?
StemEnhance a été testé dans un essai croisé à double insu, contrôlé par placébo publié en septembre 2007 dans une revue médicale évaluée par les pairs, Cardiovascular Revascularization Medicine. L'étude a documenté que la consommation d'un gramme (2 gélules) de StemEnhance promouvait la libération naturelle des cellules souches adultes, et augmentait nettement le nombre de cellules souches circulant dans le corps de 25 % en moyenne. C'est l'équivalent d'environ trois millions de cellules souches adultes en circulation. 21. StemEnhance va-t-il vider ma réserve de cellules souches dans la moelle osseuse ?
StemEnhance ne vide pas la réserve de cellules souches dans la moelle osseuse. Tout au long de votre vie, la moelle osseuse produit et libère constamment des cellules souches dans le courant sanguin. Dans la moelle osseuse, les cellules souches se reproduisent par le biais d'un mécanisme d'autoconservation appelé reproduction asymétrique. Avec ce processus, à chaque fois qu'une cellule souche est libérée de la moelle osseuse, elle laisse une cellule sœur dans la moelle osseuse, ce qui maintient la population de cellules souches dans la moelle osseuse constante. Une augmentation du nombre de cellules souches en circulation de 25 % en moyenne (soit environ 3 millions) après absorption d'un gramme de StemEnhance se trouve dans la plage physiologique normale et n'impose aucun stress à l'environnement de la moelle osseuse. 22. Que deviennent les cellules souches en circulation si elles n'atteignent pas le tissu qui en a besoin ?
Les cellules souches qui ne sont pas utilisées pour renouveler les tissus retournent simplement dans la moelle osseuse. 23. StemEnhance contient-il de l'iode ?
Contrairement à certaines algues de l'océan, l'Aphanizomenon flos-aquae (AFA) utilisée pour créer StemEnhance est une algue d'eau douce et contient une très faible quantité d'iode (seulement 0,39 mcg/g). Un apport quotidien d'iode de 150 mcg est recommandé. À titre de comparaison, une tranche de pain de mie contient environ 6 mcg d'iode ; un œuf moyen, 14 mcg ; et un gramme de varech (un type d'algue de l'océan) contient environ 5000 mcg. 24. Les cellules souches peuvent-elles mener à des cellules anormales comme le cancer ?
Contrairement aux cellules souches embryonnaires, les cellules souches adultes libérées de la moelle osseuse n'ont pas été associées à la croissance de cellules anormales. Une étude utilisant StemEnhance a été publiée en janvier 2009 dans une revue scientifique, Anticancer Research, et apporte des informations supplémentaires sur ce sujet.
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Consultez le site : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19331184 25. StemEnhance est-il approuvé par la FDA ?
StemEnhance est un complément alimentaire, ce n'est pas un médicament et il n'est destiné à traiter, soigner ou empêcher aucune maladie. Ces bienfaits n'ont donc pas été évalués par la FDA. Toutefois, la FDA réglemente l'étiquetage et la sécurité des compléments alimentaires comme StemEnhance. StemEnhance est fabriqué dans une installation sous licence inspectée par la FDA conformément aux bonnes pratiques de fabrication. 26. Pourquoi l'étiquette de StemEnhance indique-t-elle de consulter un médecin en cas de grossesse ou d'allaitement ? Que se passe-t-il si je tombe enceinte alors que je prends du StemEnhance ? De nombreux produits présentent ce genre d'avertissement par précaution et non en raison d'un risque connu concernant la grossesse. Stemtech n'a reçu aucune preuve que la consommation de StemEnhance pendant la grossesse présente un risque pour la santé. 27. StemEnhance peut-il être pris avec d'autres nutriments ?
Oui. Il n'y aucune interaction nutriment-nutriment connue avec StemEnhance. 28. StemEnhance peut-il être pris avec d'autres produits de nutrition de cellules souches de Stemtech ?
Oui, les produits de Stemtech composent un système complet de promotion des cellules souches. StemEnhance® promeut la libération des cellules souches de la moelle osseuse. StemFlo® promeut la circulation des cellules souches, nutriments et oxygène dans le courant sanguin ST-5 with MigraStem™ encourage la capacité des cellules souches à entrer (ou migrer vers) les tissus 29. Pourquoi l'étiquette dit-elle que les personnes prenant des anticoagulants doivent consulter leur médecin avant de prendre StemEnhance, et de quels renseignements leur médecin a-t-il besoin ?
La déclaration sur l'étiquette porte sur le médicament anticoagulant appelé Coumadin™ ou warfarine. Les médecins traitant des personnes prenant de la warfarine leur conseillent généralement de faire attention à la quantité de vitamine K dans leur alimentation. Comme de nombreux aliments verts, StemEnhance contient naturellement de la vitamine K. Un apport quotidien de vitamine K de 80 mcg est recommandé aux États-Unis. Deux gélules de StemEnhance contiennent environ 40 mcg de vitamine K. À titre de comparaison, une demi tasse de brocoli contient environ 100 mcg de vitamine K et une demi-tasse d'épinard bouilli contient 540 mcg de vitamine K. 30. StemEnhance peut-il être pris avec d'autres médicaments ?
Comme pour les médicaments autres que les anticoagulants (voir FAQ 29 pour des informations
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sur les médicaments anticoagulants), il n'existe aucune contre-indication associée à la prise de StemEnhance. Toutefois, il existe une possibilité théorique d'interaction avec les antidépresseurs. Ceci en raison du fait que StemEnhance contient naturellement un nutriment appelé phényléthylamine (PEA) qui se trouve également naturellement dans d'autres aliments comme le chocolat. Le PEA est un composé naturel fabriqué par le cerveau dès qu'on se sent joyeux ou heureux ; il est décrit comment étant « la molécule de l'amour ». Il a été documenté que la consommation de PEA encourage la bonne humeur et l'énergie mentale. Des interactions avec les antidépresseurs ont été signalées mais il ne s'agit que d'une supposition et il est recommandé de consulter un professionnel de la santé. 31. Une personne sous traitement médical peut-elle prendre StemEnhance ?
En raison du nutriment se trouvant naturellement dans le PEA (phényléthylamine) contenu dans StemEnhance et bien qu'elle ne soit basée sur aucun effet nocif connu, il existe une possibilité théorique qui pourrait le contre-indiquer chez les personnes souffrant de manie ou de trouble bipolaire (voir FAQ 30 concernant les bienfaits du PEA). Il existe également une possibilité théorique, qui n'est pas basée non plus sur un effet nocif connu, que StemEnhance pourrait être contre-indiqué chez les personnes atteint d'une maladie de la moelle osseuse. Bien qu'il n'y ait aucun effet nocif connu, il est recommandé que les personnes présentant ces conditions consultent leur médecin avant de prendre StemEnhance. Comme avec tout complément alimentaire, il est recommandé que vous consultiez votre médecin avant d'utiliser StemEnhance si vous êtes traité par un professionnel de la santé ou si vous prenez des médicaments quels qu'ils soient. Nous vous suggérons de rendre les informations comme ce FAQ à la disposition de votre médecin, afin qu'il puisse prendre une décision bien fondée. Il n'existe aucun risque résultant de l'utilisation de StemEnhance. 32. Une personne peut-elle prendre StemEnhance quel que soit son âge ?
Oui, il suffit de suivre les indications sur l'étiquette et de le faire sous la supervision d'un adulte. 33. Stemtech utilise-t-il des gélules pour végétariens ?
Oui. Stemtech utilise des gélules pour végétarien qui sont couramment utilisées dans le secteur des compléments alimentaires. Elles ne contiennent pas de gélatine ni de produit d'origine animale de quelque sorte que ce soit. Elles sont essentiellement constituées de cellulose, une fibre polysaccharide trouvée dans les légumes. 34. La procédure de passage aux rayons que suivent certains services d'expédition endommage-t-elle les produits Stemtech ?
À notre connaissance, les produits de Stemtech ne sont pas affectés par les niveaux de radiation utilisés lorsque des services d'expédition passent aléatoirement des paquets aux rayons X pour des raisons de sécurité. 35. StemEnhance est-il breveté ?
Oui, StemEnhance dispose de deux brevets. Un brevet est un brevet d'utilisation qui vise l'utilisation de l'Aphanizomenon flos-aquae (AFA) dans la promotion de la physiologie des cellules souches. Le second brevet est un brevet de composition qui a été déposé dans le monde entier.
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Le brevet de composition vise les composants particuliers de l'AFA qui sont responsables de la promotion des cellules souches. 36. Pourquoi la couleur et l'odeur de StemEnhance semble-t-elle changer ? Elle est parfois plus sombre et son odeur est différente.
StemEnhance est un produit naturel et dans la nature la couleur et l'odeur ne sont pas toujours les mêmes. En fonction des conditions climatiques et de la période de l'année, la couleur du concentré breveté de StemEnhance peut varier du vert foncé à un vert moyen et parfois à ce qui peut semblé une couleur légèrement brune. L'odeur peut également varier. Quelle que soit la couleur et l'odeur, les nutriments qui encouragent la physiologie de vos cellules souches adultes restent les mêmes. 37. Pourquoi Stemtech a-t-il choisi d'utiliser une commercialisation par réseau pour sa distribution ? La théorie du renouvellement des cellules souches constitue un nouveau paradigme pour le mieux-être et les produits de Stemtech sont les premiers d'une nouvelle catégorie de produits nutritionnels appelée « nutrition des cellules souches ». Un processus pédagogique est donc nécessaire pour aider les consommateurs à comprendre les bienfaits de cette nouvelle technique. La commercialisation par réseau présente de nombreux avantages par rapport aux rayons de magasin car elle dépend de la mise en place de relations et propose une méthode efficace qui permet de développer une meilleure prise de conscience de la nutrition des cellules souches et d'éduquer les personnes sur le paradigme de la théorie de renouvellement des cellules souches. En outre, la commercialisation par réseau permet aux utilisateurs satisfaits et aux entrepreneurs de développer leur propre commerce à domicile, de gagner un revenu supplémentaire et d'être leur propre patron. Réponse à M. Stephen Barrett de MLM Watch.org et du National Council Against Health Fraud
Récemment, des personnes effectuant des recherches en anglais sur Internet sur les termes « stem cell enhancer » (activateur de cellules souches) ont été surprises de trouver un article de Stephen Barrett soulevant déjà des doutes sur StemEnhance et les activateurs de cellules souches. Nous profitons de cette occasion pour vous apporter de plus amples informations sur StemEnhance. M. Barrett fournit un historique relativement correct de StemEnhance et Stemtech HealthSciences (STHS). Toutefois, il fait un rapprochement inexact entre STHS et Cell Tech. STHS et Desert Lake Technologies n'ont JAMAIS été impliquées dans une action en justice pour allégations fallacieuses. Le travail effectué par STHS et DLT est basé sur la science, il est complètement indépendant de Cell Tech et toutes nos déclarations sont solidement avalisées par la science. M. Barrett allègue également que les produits à base d'algue bleu-vert contiennent des toxines dangereuses (voir ci-dessous pour les rapports sur la microcystine et la neurotoxicité). À l'heure actuelle et une dizaine d'années après le développement d'un programme de contrôle de la qualité strict par le secteur, il est inexcusable de continuer à répéter de telles allégations non pertinentes. Alors que l'infection du bœuf par l'e.coli est toujours responsable de plus de 20 000 intoxications et de près de 500 morts par an, alors que l'aflatoxine dans le maïs, les cacahouètes, les produits laitiers, les épices et d'autres produits alimentaires ont été responsables de plusieurs morts et alors que les toxines dans les mollusques et crustacés sont toujours responsables de plusieurs décès chaque année, l'algue bleu-vert n'a été liée à aucun effet nocif. Comme tout autre
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ingrédient alimentaire, si des contaminants éventuels tels que des métaux lourds, pesticides, et toxines de mollusques et crustacés sont présents en quantité inférieure aux niveaux établis comme étant sains, le produit est alors jugé sain. Le fait de déclarer que l'algue bleu-vert peut être dangereuse revient à déclarer que le fait de manger une crevette ou un hamburger dans votre restaurant préféré est dangereux. Une telle déclaration reflète un manque d'expérience et de connaissances scientifiques ou une intention de tromper. M. Barrett déclare qu'avant de prendre tout produit, il est conseillé de savoir si ce produit a été prouvé comme étant sûr et efficace pour le ou les effets prévus, et qu'en ce qui concerne StemEnhance, les questions suivantes doivent recevoir une réponse.
Forum aux questions
Quelles sont les preuves qui indiquent que la prise de StemEnhance améliore la santé ?
Y a-t-il eu une étude indiquant une amélioration de la santé après sa consommation ?
Quelles sont les preuves indiquant que StemEnhance est sûr à long terme ?
Comment les utilisateurs peuvent-ils être certains qu'une utilisation à long terme n'entraînera
pas une croissance des tissus anormaux ?
1. Quelles sont les preuves qui indiquent que la prise de StemEnhance améliore la santé ?
De nombreuses études menées par diverses équipes scientifiques dans le monde, dont le National Institute of Health[1] ont clairement établi que plus les niveaux de cellules souches en circulation sont élevés et plus le corps a la capacité d'assurer une santé optimale. Une publication récente dans le New England Journal of Medicine [2] a signalé que le niveau de cellules souches dans le sang était l'un des meilleurs indicateurs de la santé cardiovasculaire. Il a été prouvé que l'augmentation du nombre de cellules souches dans le sang améliore la santé de nombreuses manières différentes. StemEnhance promeut la libération des cellules souches de la moelle osseuse et augmente le nombre de cellules souches en circulation de 25 à 30 %, ce qui permet au corps de maintenir une santé optimale. Comme M. Barrett doit le savoir, étant donné l'expérience qu'il revendique auprès de la FDA, nous ne pouvons pas faire de revendications sur la santé en ce qui concerne StemEnhance car il s'agit d'un complément alimentaire et non d'un médicament. Nos revendications sont limitées aux structures et fonctions du produit, ce que nous avons documenté solidement. StemEnhance promeut la libération naturelle des cellules souches de la moelle osseuse, ce qui aide le corps à maintenir une santé optimale. Nous serions ravis de publier les résultats de patients individuels que nous avons documentés, mais ils pourraient être interprétés comme étant des revendications sous-entendues relatives à la santé. Toutefois, des études cliniques sont actuellement en cours et impliquent des organes et système particuliers pour documenter plus avant les mécanismes de la physiologie des cellules souches et ces études seront publiées ultérieurement.
2. Y a-t-il eu une étude indiquant une amélioration de la santé des personnes après sa consommation ?
De nombreux rapports empiriques et témoignages font état des bienfaits pour la santé de StemEnhance. De nombreuses entreprises ont été fermées par la FDA en raison de revendications sous-entendues relatives à la santé qui faisait un lien avec la documentation des améliorations dans le cas de diverses maladies. Nous voulons que notre message soit clair et
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dans les limites du DSHEA (Dietary Supplement Health and Education Act), et laissons StemEnhance faire ses preuves. Nous serions ravis d'offrir à M. Barrett quelques bouteilles de StemEnhance afin qu'il puisse ressentir ses bienfaits sur sa propre santé.
3. Quelles sont les preuves indiquant que StemEnhance est sûr à long terme ?
L'AFA, l'ingrédient brut à partir duquel StemEnhance est dérivé, est sur le marché depuis plus de 20 ans avec de très bonnes références de sécurité. Une étude d'innocuité sur des souris a déterminé que la consommation de l'équivalent de 2000 gélules d'AFA par jour ne déclenchait aucun problème de santé. En fait, les auteurs ont indiqué que les souris qui avaient reçu la dose d'AFA la plus élevée était moins agressives et semblait en meilleure santé. StemEnhance est un concentré à 5:1 d'AFA, et tout comme les concentrés à 5:1 dérivés de la plante entière d'échinacée, de pépins de raisin, de ginkgo ou de jus d'agropyre sont sûrs, l'intégralité de l'AFA dans StemEnhance est sûre. StemEnhance est à l'AFA ce que le jus de carotte est à la carotte.
La question peut également faire référence à la sûreté en ce qui concerne l'augmentation quotidienne de 25 à 30 % du nombre de cellules souches en circulation. Ici aussi la sûreté est évidente. La plage normale du nombre de cellules souches en circulation est entre 1,2 et 5 cellules souches par litre de sang. Une augmentation de 30 % du nombre de cellules souches en circulation signifie au maximum une augmentation de 1,5 cellule par litre, ce qui reste clairement dans les limites de la plage physiologique normale. Dans leur approche différente du même sujet, Krause et divers collaborateurs [7] ont documenté qu'une seule cellule souche suffisait à reconstituer l'ensemble des systèmes hématopoïétique (hématies) et immunitaire. Si une seule cellule souche peut accomplir cela, alors les milliards de cellules souches restant dans la moelle osseuse après avoir pris StemEnhance peuvent maintenir une moelle osseuse saine et robuste.
4. Comment les utilisateurs peuvent-ils être certains qu'une utilisation à long terme n'entraînera pas une croissance des tissus anormaux ?
La libération de cellules souches de la moelle osseuse et leur migration dans les tissus est un processus naturel qui se produit chaque jour. StemEnhance soutient simplement le processus naturel et fait pencher la balance vers la santé au quotidien. StemEnhance ne fait rien que le corps ne fait déjà au quotidien. Jusqu'à présent, aucun cas de cancer ni problème similaire n'a jamais été observé lors de l'utilisation in vivo d'une libération naturelle des cellules souches de la moelle osseuse. Une croissance cellulaire anormale a seulement été observée lors de la manipulation des cellules souches dans des tubes à essai.
5. Pour qui le produit est-il conseillé ?
StemEnhance promeut la libération naturelle des cellules souches de la moelle osseuse, ce qui aide le corps à maintenir une santé optimale des divers organes et tissus. StemEnhance est le soutien quotidien optimal pour maintenir une santé optimale. Il convient à tous ceux qui veulent booster leur corps vers un renouvellement quotidien des cellules du corps. Il convient à quiconque veut promouvoir le système de renouvellement naturel de son corps.
6. Qui ne devrait pas le prendre ?
StemEnhance contient naturellement une quantité importante de vitamine K. En conséquence, toute personne prenant un médicament anticoagulant doit consulter son médecin afin d'ajuster éventuellement la prise de médicament. StemEnhance pourrait également être contre-indiqué chez les personnes atteint d'une maladie de la moelle osseuse, bien que ce soit purement spéculatif et basé sur aucune observation d'effet nocif connu.
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L'AFA contient du phényléthylamine (PEA), appelé aussi la « molécule de l'amour » ou la « molécule de la joie ». Le PEA est un composé naturel fabriqué par le cerveau dès qu'on se sent heureux. Une carence en PEA a été liée à des problèmes de concentration et d'humeur maussade, et il a été démontré que l'absorption orale de PEA améliore ces conditions. StemEnhance concentre le PEA à environ 5 mg/g. Le PEA est responsable du sentiment immédiat de bien-être que l'on ressent après la prise de StemEnhance. En raison des effets du PEA sur le cerveau, StemEnhance pourrait être contre-indiqué chez les personnes souffrant de psychose maniacodépressive grave.
Enfin, M. Barrett déclare que « quelques études, dont la plupart ont été menées en laboratoires sur des animaux, ont montré que les cellules souches de la moelle osseuse en circulation peuvent se développer en quelques autres types de cellules mûres. Autant que je sache, toutefois, aucune étude n'a prouvé que l'augmentation du nombre de cellules en circulation est sûre ou améliore la santé. » Il s'agit là de l'expression la plus parlante du manque d'expertise de M. Barrett dans ce domaine.
Quiconque s'intéresse à savoir s'il y a eu « quelques études » indiquant que les cellules souches en circulation « peuvent se développer en quelques autres types de cellules », peut simplement faire des recherches sur Medline pour obtenir les milliers d'articles sur le sujet. Ou simplement se référer à l'étude de Krause[7] dans laquelle il a été observé que les cellules souches de la moelle osseuse deviennent des cellules fonctionnelles de la peau, du foie, du colon, de l'intestin, de l'estomac, de l'œsophage, du rein et du poumon. Il a également été documenté que les cellules souches de la moelle osseuse deviennent des cellules du cerveau,[8] du cœur,[1] musculaires,[9] pancréatiques[10] et quasiment tout type de cellule dans le corps. En ce qui concerne la deuxième déclaration qu'à la connaissance de M. Barrett « aucune étude n'a prouvé que l'augmentation du nombre de cellules en circulation est sûre ou améliore la santé », il suffit de se référer aux études menées par Orlic du NIH[1] et à celles de Werner et ses divers collaborateurs.[2] M. Barrett aurait pu faire une simple recherche dans la bibliothèque du NIH avec les mots clés en anglais « circulating stem cells healing » (PubMed) et il aurait ainsi évité de tromper les gens comme il l'a fait.
Dans un souci déontologique et d'intégrité publique, je pense qu'il est important de mettre fin à cette discussion en plaçant les commentaires ci-inclus de Stephen Barrett, et d'autres qu'il a fait, dans un contexte plus large. M. Barrett est un psychiatre à la retraite qui n'a pas fait beaucoup de commentaires positifs sur les compléments alimentaires et qui, au cours des années, a mené une petite vendetta contre tout ce qui vient de la commercialisation en réseau. Il serait probablement contre le beurre de cacahuètes si on le vendait en réseau. Ses attaques contre les approches naturelles de médecines telles que l'homéopathie et la phytothérapie démontre assez clairement son ignorance.
Il a créé le soi-disant National Council Against Health Fraud (Conseil national contre la fraude à la santé), qui ironiquement est lui-même relativement frauduleux et trompeur, car il ne représente pas un conseil expert et objectif, il ne représente pas une organisation nationale officielle et il fournit des informations relativement biaisées. M. Barrett allègue qu'il dispose de plusieurs liens avec la FDA et qu'il possède une grande expertise sur le sujet de la FDA. Nous laisserons le juge Fromholz de la Cour supérieure de Californie éclairer M. Barrett. Comme déclaré par le juge, les motivations de Barrett semblent être davantage liées à un gain financier personnel plutôt qu'à l'éducation généreuse du public.
Vous trouverez ci-dessous un extrait de la décision du juge rendue contre la NCAHF 17/12/01 par Maître Framholz de la Cour supérieure de Californie. Vous pouvez lire la transcription complète, « A Judges View of the Quackbusters »
« Le Dr Barrett a reçu une offre sur plusieurs éléments par le Demandeur, mais la Cour a jugé qu'il y avait un recoupement suffisant sur lesdits éléments que lui-même et Dr Sampson devaient adresser. » En conséquence, afin d'éviter toute répétition ou cumulation de preuves (voir Cal. Evidence Code 352, 411, 723), le témoignage du Dr Barrett a été limité par la Cour au seul
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élément du traitement des médicaments homéopathiques par la FDA. La pertinence de cet élément était pour le moins sujet à caution, car le Demandeur avait précédemment affirmé que cette affaire ne dépendait pas ni ne visait à établir aucune violation des lois ou réglementations de la FDA. Quoi qu'il en soit, le Demandeur a sollicité le témoignage du Dr Barrett sur son expérience avec la FDA en ce qui concerne la réglementation des médicaments homéopathiques.
« Le Dr Barrett était un psychiatre qui a pris sa retraite vers 1993, date à laquelle il affirme avoir laissé expirer son permis d'exercice de la médecine. Tout comme le Dr Sampson, il n'a aucune formation officielle en médecine ou médicaments homéopathiques, bien qu'il revendique avoir beaucoup lu et écrit sur l'homéopathie et d'autres formes de médecine douce. La déclaration du Dr Barrett revendiquant son expertise en matière de réglementation de la FDA vient de ses conversations avec des agents de la FDA, de son analyse de documents professionnels sur le sujet et de certaines activités de formation continue.
En ce qui concerne ses titres de compétence en tant qu'expert sur la réglementation par la FDA des médicaments homéopathiques, la Cour constate que le Dr Barrett manque de qualifications suffisantes dans ce domaine. Une expertise sur la réglementation de la FDA suggère des connaissances sur la manière dont l'agence exécute la loi fédérale et la réglementation de l'agence elle-même. Les connaissances supposées du Dr Barrett en matière juridique et réglementaire ne sont pas apparentes. Il n'est pas avocat, bien qu'il déclare avoir suivi plusieurs trimestres de droit par correspondance. Bien que le Dr Barrett semble avoir eu, dans le passé, plusieurs conversations avec des représentants de la FDA, il semblerait que ces conversations aient été sporadiques, principalement à sa propre demande, et dans le but de recueillir des informations pour ses divers articles et sites Web. Il n'a jamais témoigné devant une agence ou un groupe d'expert gouvernemental sur des sujets concernant la réglementation de médicaments par la FDA. Ses expériences en formation continue sont vraisemblablement caducs étant donné qu'il n'a pas eu de permis d'exercice de la médecine en cours de validité depuis plus de sept ans. Pour ces raisons, il n'existe aucune base solide sur laquelle le Dr Barrett peut être considéré comme étant un expert qualifié sur le sujet qu'on lui a demandé de traiter. En outre, il n'y avait pas vraiment de point central dans son témoignage concernant l'un des sujets de la présente affaire qui soit associé aux produits du Défendeur.
« En outre, la Cour constate que les Dr Sampson et Barrett sont lourdement polarisés en faveur du Demandeur et en conséquence le poids accordé à leur témoignage est, de toute façon, léger. Les deux sont des membres du conseil d'administration du Demandeur depuis longtemps ; le Dr Barrett a occupé les fonctions de président du conseil. Les deux ont participé à une demande auprès de la FDA au début des années 1990 visant à limiter la vente de la plupart des médicaments homéopathiques. Les cours universitaires du Dr Sampson présentent ce qui est en effet une opinion critique et unilatérale de la médecine douce. Les activités importantes du Dr Barrett en conférence et publication sur le sujet des médecines douces se concentrent sur l'éradication de ces pratiques sur lesquelles il émet son avis. Comme l'a témoigné le Dr Barrett, les honoraires des deux témoins sont payés par un fonds établi par le Demandeur (NCAHF) provenant des produits d'actions en justice telles que l'affaire qui nous occupe. Sur ce simple fait, la Cour peut conclure que les Dr Barrett et Sampson sont plus à même de recevoir des honoraires pour leur témoignage au nom de NCAHF dans des affaires futures si le Demandeur emporte l'action en cours et gagne ainsi des fonds qui enrichiront le fonds de contentieux décrit par le Dr Barrett. Il apparaît donc que les deux hommes ont un intérêt financier personnel direct dans le résultat de ce contentieux. Sur la base de tous ces éléments, on peut décrire le Dr Sampson et le Dr Barrett comme des porte-parole zélés du point de vue du Demandeur ; ils ne sont donc pas des témoins ni des experts neutres et impartiaux. Aux vues de ces affiliations et de leur orientation, on peut raisonnablement dire que les Dr Barrett et Sampson sont eux-mêmes le client, et donc sur cette base, leurs témoignages sont peu, voire pas du tout, crédibles. »
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Références
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Toute l'histoire sur la Microcystine et l'AFA
On a beaucoup parlé et écrit sur la microcystine comme contaminant possible de la cyanobactérie Aphanizomenon flos-aquae (AFA). Tout ce qui a été montré dans les médias et sur Internet provenait d'un événement qui s'est produit au cours de l'été 1996, et dont je fus l'un des principaux acteurs. À cette époque, l'ampleur de la désinformation était telle que nous avons choisi de ne pas y répondre, parce que nous pensions qu'elle ne pouvait durer. Avec le recul, je peux dire que ce n'était pas une bonne idée et j'ai donc décidé de raconter toute l'histoire. L'AFA est un exceptionnel complément alimentaire sur le marché depuis plus de 20 ans. Et depuis plus de 20 ans, pas un seul incident lié même de loin à la microcystine ou à toute autre toxine n'a été signalé. Mais les médias ont établi une autre perception de la réalité de l'AFA, dans des circonstances uniques en leur genre. En 1996, j'étais Directeur des recherches et du développement d'une société de marketing
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centrée sur la vente de l'AFA. Peu après mon arrivée en 1995, j'ai mis en place avec le Dr Wayne Carmichael de Wright State University, une procédure d'essai pour une toxine alors peu connue. La toxine était la microcystine, qui est produite par un type d'algue bleu-vert appelée Microcystis. La Microcystis étant parfois trouvée dans le lac Klamath pendant certaines périodes de l'été et un nouveau titrage biologique ayant été développé pour mesurer la microcystine, nous avons décidé d'ajouter ce test à notre programme de contrôle de la qualité. Afin d'obtenir les résultats les plus complets possibles, nous avons testé des échantillons qui remontaient jusqu'en 1992. Comme nous nous y attendions, la microcystine était présente en petites quantités ne présentant aucun danger pour la santé. Toutefois, pendant l'été 1996, nous avons observé une prolifération de Microcystis légèrement plus importante que dans les années précédentes. Après de nombreuses discussions avec plusieurs experts, nous avons choisi d'être proactifs avec la situation et de déclencher une campagne éducative. De même qu'avec l'histoire de l'aflatoxine dans les cacahuètes et le maïs, nous avons décidé d'éduquer les autorités locales et de travailler au développement de limites sûres afin d'assurer la qualité et la sécurité. Nous avons invité des responsables de l'Oregon Health Division (OHD) à visiter nos installations et nous leur avons parlé de la microcystine et de notre programme de contrôle de la qualité. C'était la première fois qu'ils entendaient parler de la microcystine. Nous leur avons montré le test, l'inventaire des produits retenus qui avaient été révélés par un programme de contrôle de la qualité efficace ; nous leur avons tout montré. Nous pensions que nous avions rempli notre devoir et agit de manière responsable ; nous nous attendions à recevoir une réponse de l'OHD reconnaissante de l'approche que nous avions prise. À notre surprise, peu de temps après, les responsables de l'OHD ont publié un article mentionnant que la microcystine était une toxine dangereuse, qu'au Brésil, plus de 60 personnes étaient mortes en raison de la toxicité de la microcystine. Mais ils n'ont pas mentionné que cet incident était lié à une exposition intraveineuse par dialyse à environ 100 litres d'eau contaminée par de la microcystine. La différence entre une exposition intraveineuse et orale est immense. Que diriez-vous d'avoir une cuillère à café de beurre de cacahuètes injecté dans une veine ? Dans le même article, ils ont mentionné que le produit contenant jusqu'à 20 ppm de microcystine avait été récolté, mais ils n'ont pas mentionné que ce produit avait été détecté par un programme de qualité efficace et n'avait jamais atteint le consommateur. Nous étions sous le choc. Dès que nous avons essayé de défendre notre position, nous sommes devenues une entreprise abusive essayant de gagner de l'argent en intoxiquant les gens. Rien n'était plus loin de la vérité. Une limite de sécurité de 20 ppb avait été établie pour l'aflatoxine, des niveaux jusqu'à 300 ppb ont parfois été tolérés, comme en 1988, lorsque la sécheresse menaçait les fermiers du Midwest. La salmonelle est présente dans environ 0,02 % des œufs consommés par les américains, ce qui revient à quelques milliers d'expositions réelles par jour. La contamination de viande hachée de bœuf par l'E. coli est responsable d'environ 20 000 hospitalisations et 500 morts par an. Bien que ces taux soient tolérés, l'OHD a déclenché une mauvaise presse sans précédent pour un produit qui n'avait aucun antécédent d'effets secondaires. Les responsables de l'OHD ont poussé jusqu'à publier un article choquant dans une revue scientifique signalant que malgré une réglementation limitant la quantité de microcystine dans l'AFA à 1 ppm, 85 des 87 échantillons sur le marché contenait un niveau de microcystine supérieure à 1 ppm. Comme avec les communiqués de presse précédents, ils n'ont pas mentionné une information importante. La réglementation avait été mise en vigueur le 17 octobre 1997. Entre l'été 1996 et la date de la réglementation, le secteur a adopté la limite de sécurité de 5
ppm proposée par deux éminents scientifiques, le Dr Wayne Carmichael, expert en
cyanobactéries toxiques à Wright State University, et le Dr Gary Flamm, ancien chef toxicologique de la FDA à Washington. Ces témoignages sont enregistrés à l'ODA (Oregon Department of Agriculture). Les échantillons testés par l'OHD étaient pris sur le marché dans les mois suivant la
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réglementation de 1 ppm. Toutefois, tous les échantillons provenaient de produits mis sur le marché avant la mise en vigueur de la réglementation, et respectaient le niveau intérimaire de 5 ppm proposé par les experts. Et donc pendant que le secteur respectait les règles du jeu et l'opinion des experts, l'OHD trichait une fois de plus en concluant que le secteur ignorait la réglementation. C'était comme si on changeait la limite de vitesse un jour et qu'on accusait quelqu'un d'avoir conduit trop vite la veille. L'intention de tromper était évidente pour tous ceux qui connaissaient la situation en détail. Soutenus par des experts, nous avons proposé de mettre en place un moratorium à 5 ppm de 2 ans pendant lequel nous allions payer pour des études montrant la sécurité de faibles niveaux de microcystine dans l'AFA. L'étude sur laquelle l'OHD s'était appuyé pour son évaluation de la sécurité gavait des souris tous les jours avec de la toxine pure dissoute dans l'eau. La seule procédure de gavage des souris entraîne de graves blessures au foie. Dans cette étude, des groupes témoins montraient parfois une plus grande toxicité que le groupe recevant les plus hauts niveaux de toxines. L'étude était de toute évidence faussée. En outre, l'utilisation de toxine pure était inadéquate. Par exemple, l'AFA contient des niveaux importants de silymarine, un élément bioflavanoïde connu pour sa protection à 100 % contre la microcystine. Pour établir la sécurité de la microcystine en tant que contaminant de l'AFA, nous l'avons testé dans l'AFA. L'OHD rejeta toute suggestion. Plus tard, quelqu'un proche d'une personne dirigeant toute cette vendetta à l'OHD, Duncan Gilroy, m'a dit qu'aucun argument raisonnable ne pourrait changer la position de l'OHD parce que Duncan Gilroy n'aimait pas l'algue bleu-vert et avait clairement l'intention de faire tomber ce secteur. Même après la réglementation à 1 ppm, M. Gilroy a continué à dire au consommateur qu'aucun niveau de microcystine n'était sûr et qu'il devait éviter de consommer de l'algue bleu-vert. Dans tout secteur si un produit est en dessous du niveau considéré comme étant sûr, le produit est jugé pur et sûr pour la consommation, comme le maïs et les cacahuètes avec l'aflatoxine et le bœuf avec l'e.coli.
Les faits
L'algue bleu-vert récoltée du lac Klamath et couramment vendue sur le marché contient plus de 99 % d'Aphanizomenon flos-aquae. Cette algue bleu-vert du lac Klamath est absolument non toxique, comme démontré par de nombreuses années de tests approfondis. Pendant quelques semaines l'été, la Microsystis, une algue bleu-vert se coproduisant et pouvant développer la toxine microcystine, est un constituant mineur de la communauté de phytoplanctons du lac Klamath. Ce phénomène n'est pas récent et la Microcystis a toujours été présente en très petites quantités dans le lac Klamath. En raison de sa présence, la Microcystis n'est pas un problème, car Desert Lake Technologies (DLT) a développé une méthode permettant de séparer cette algue de l'Aphanizomenon flos-aquae. En 1995, le Dr Wayne Carmichael de Wright State University et le Dr Don Anderson de Woodshole Oceanographic Institute sont devenus conseillers pour un membre du secteur des algues du lac Klamath, sur le problème particulier de la toxicité des algues. Au cours de l'été 1996, une efflorescence importante de Microcystis a été observée inopinément ; elle a démarré au début du mois de juillet et a continué au cours de la troisième semaine de septembre. En collaboration avec les Dr Jake Kann, Wayne Carmichael et Don Anderson, la situation a été signalée au public, en raison de l'engagement du secteur envers la sécurité et l'éducation publiques, qui a mené à la prise de conscience de la situation par l'Oregon Health Division. En raison de l'existence de peu de directives proposées basées sur des études uniques et des incertitudes concernant ces études, une bourse directe a été accordée à l'université de l'Illinois pour effectuer une évaluation complète des risques, en analysant plus de 300 articles
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scientifiques, et en évaluant précisément le risque associé à la microcystine comme contaminant possible des produits d'algue bleu-vert. Cette évaluation des risques a déterminé que 10 g/g était un niveau considéré sûr. Un niveau sûr similaire (5 g/g) a plus tard été confirmé par une évaluation des risques effectuée par le Dr Gary Flamm, ancien chef toxicologiste de la FDA à Washington, DC. Ce niveau sûr de 5 g/g a également été soutenu par le Dr Wayne Carmichael dans un témoignage d'appréciation écrit. Malgré les opinions écrites de nombreux experts et l'importante quantité des données indiquant que les taux de 5 g/g et 10 g/g étaient sûrs pour la consommation humaine, même chez les enfants, l'Oregon Department of Agriculture a décidé de passer une réglementation établissant 1 g/g comme concentration maximale acceptable. Le niveau sûr réel déterminé par des études sur des animaux se situait entre 2500 et 6000 g de microcystine par jour. Pour y ajouter une marge de sécurité, ce niveau sûr a été encore divisé par un facteur de 1000. Le niveau adopté sûr de 1 g/g est donc 1000 fois plus bas que le niveau établi comme étant sûr dans les études sur les animaux, assurant ainsi une sécurité complète pour les enfants. La microcystine est en effet une toxine du foie, toutefois, elle est complètement sûre aux niveaux actuellement trouvés dans les produits d'algue bleu-vert. Des dommages au foie se produisent seulement à des niveaux qui dépassent de 10 000 fois le niveau sûr adopté de 1 g/g. Il faudrait manger plus de 5 000 gélules par jour pour atteindre de tels niveaux. Le secteur a toutefois bien accueilli la réglementation et s'y est immédiatement conformé. Pendant toute la procédure et après l'adoption de la réglementation, la relation entre l'ODA et le secteur de l'algue bleu-vert s'est transformée en collaboration. L'un des éléments toujours non résolus de cette procédure réglementaire a été le développement d'une épreuve validée pour quantifier la microcystine. On pensait qu'une telle épreuve pourrait être développée dans l'année suivant l'adoption de la réglementation. Toutefois, la collaboration entre l'ODA et la FDA dans l'État de Washington, ainsi qu'avec des universités et institutions indépendantes, n'a pas réussi à produire un test validé pour la mesure précise de la microcystine à des niveaux faibles. Quoi qu'il en soit, les tests actuellement utilisés qui ont été développés et peaufinés depuis 5 ans, un titrage avec immunoadsorbant lié à une enzyme (ELISA) et un titrage d'inhibiteur de protéines-phosphatase (PPIA), sont suffisamment précis pour contrôler la conformité, même si les niveaux trouvés dans un même échantillon analysé à différents moments ou par différents laboratoires peuvent parfois montrer des variations importantes.
En conclusion, le secteur de l'algue bleu-vert a été extrêmement proactif avec le problème de la présence de la Microcystis dans le lac Klamath. Les membres du secteur de l'algue du lac Klamath ont travaillé avec l'Oregon Department of Agriculture pour augmenter le niveau réglementé à 5 g/g. Toutefois, la position du DLT a été d'intégrer pleinement le niveau réglementaire de 1 g/g, et de développer des moyens de réduire le contenu en microcystine. Comme indiqué précédemment, le DLT a développé et mis en place une méthode permettant de séparer la Microcystis de l'Aphanizomenon flos-aquae. Une grande quantité de l'AFA récoltée depuis 2000 a été testé à un niveau inférieur à 1 g/g.
Aphanizomenon flos-aquae Analyse des articles sur la neurotoxicité
Aphanizomenon flos-aquae (Aphanizomenon flos-aquae) est une espèce d'algue filamenteuse bleu-vert récoltée chaque été dans le lac Klamath supérieur à Klamath Falls en Orégon. L'Aphanizomenon flos-aquae est vendu comme complément alimentaire depuis presque 20 ans. Elle est reconnue comme étant riche en certaines vitamines (B12, caroténoïdes, K) et en oligo-éléments. Les bienfaits nutritifs de l'Aphanizomenon flos-aquae sont appréciés par des millions de
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consommateurs, dont bon nombre ont signalé une plus grande énergie, une meilleure clarté mentale, une plus grande mémoire et un sentiment de bien-être général.
L'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath supérieur
Pour apprécier l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath, il est important de prendre en compte l'écosystème unique dans lequel cette algue « fleurit ». Le lac Klamath supérieur, qui couvre environ 325 km2, est le plus grand plan d'eau naturel en Orégon (Gearheart et al. 1995). De nombreuses sources chargées d'eau filtrée par des kilomètres de sols volcaniques riches en nutriments sur les flancs des montagnes Cascade (Gearheart et al. 1995), et six principaux affluents, contribuent à 90 % des courants entrants annuellement dans le lac (1 900 000 000 m3 - 1929-1993) ; Gearheart et al. 1995). Globalement, le lac Klamath supérieur est décrit comme étant un lac eutrophe productif qui est marqué par de hauts niveaux de nutriments disponibles et de vie végétale. C'est cette richesse en nutriments qui permet à l'Aphanizomenon flos-aquae de pousser en telle abondance dans la nature. Le lac Klamath supérieur est l'un des quelques écosystèmes qui soutiennent la pousse récurrente de l'Aphanizomenon flos-aquae en telle quantité. Le lac Klamath supérieur a parfois été considéré comme étant pollué en raison de son incroyable production d'Aphanizomenon flos-aquae. L'influence la plus observable de cette algue bleu-vert est le changement de propriétés chimiques de l'eau autour des masses d'algue en efflorescence, notamment l'oxygène dissoute, le pH et l'ammoniac. En fonction des conditions durant l'été et d'une importante efflorescence algoïde, la composition chimique de l'eau peut changer nettement et ces paramètres peuvent atteindre des niveaux qui peuvent toucher directement les espèces de poissons (Monda and Saiki, 1993). Les poissons se regroupent près des zones d'arrivée d'eau de meilleure qualité, mais leur densité et condition de stress les rend susceptibles aux épidémies et à la mortalité massive. Dans le lac Klamath supérieur une telle mortalité massive des poissons (1971, 1986, 1995) est généralement attribuée à des vague de myxobactériose à Flexibacter columnaris (Logan et Markle, 1993). Ces épidémies sont courantes dans les alevinières dans des conditions de surpopulation et de température élevée (Piper et al. 1982). Un tel impact sur la survie des poissons a amené certaines personnes, qui ne connaissaient pas cet état chimique, à dire que le lac Klamath est pollué. Au cours des 10 dernières années, divers tests recherchant des pesticides, produits pétrochimiques et autres contaminants n'ont pas révélé leur présence.
L'Aphanizomenon flos-aquae et le problème de la neurotoxicité
Quelques rapports sur la neurotoxicité dans des articles scientifiques ont soulevé des inquiétudes non fondées. En dehors de ces rapports, près de 10 ans de tests réguliers (soit plus de 300 échantillons testés) n'ont révélé la présence d'aucunes neurotoxines. À la fin des années 1990, deux actions en justice pour neurotoxicité ont été menées contre des entreprises récoltant dans le lac Klamath. Il y a eu non-lieu pour les deux actions après que des efforts considérables pour détecter des neurotoxines se soient avérés inefficaces. Enfin, une étude récente publiée s'est servi de techniques génétiques pour révéler que les conclusions précédentes sur la neurotoxicité associée à l'Aphanizomenon flos aquae avaient mal identifié les espèces algoïdes et que les échantillons algoïdes toxiques n'étaient pas de l'Aphanizomenon flos aquae mais une espèce d'anabaena. Vous trouverez ci-dessous un résumé et un compte-rendu plus détaillé de l'évolution des données scientifiques concernant la neurotoxicité de l'Aphanizomenon. flos-aquae.
Le lac Klamath
Le premier article à signaler la toxicité de l'Aphanizomenon flos aquae résumait un colloque de 1960 du US Department of Health, Education and Welfare dans lequel les auteurs Phinney et Peek (1961) se rapportaient à une efflorescence algoïde qui avait eu lieu à la fin des années 1950 dans le lac Klamath supérieur. Un échantillon de cette efflorescence algoïde a été envoyé pour
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analyse toxicologique au Dr Paul Gorham, puis au National Research Council à Ottawa au Canada. Bien que Phinney et Peek faisait état :
« qu'aucune preuve concrète n'a été obtenue quant aux effets de cette toxine sur le biot du lac et du fleuve. Toutefois, des expériences sur des souris ont démontré qu'une ingestion de la matière algoïde était rapidement létale et que l'injection intrapéritonéale de l'extrait aqueux provoquait une mort quasi instantanée ». Gorham a déterminé que l'échantillon n'était pas de l'Aphanizomenon flos-aquae, mais se composait actuellement de parts égales d'Aphanizomenon flos-aquae et de Microcystis, une algue reconnue comme produisant des microcystines. Gorham en a conclu que la toxicité ne provenait pas de l'Aphanizomenon flos-aquae, mais de la Microcystis (Gorham, 1964 ; Carmichael et Gorham, 1980 ; Gorham, communication personnelle au W.W.C., 1995). Le deuxième article concernant le lac Klamath était un résumé préliminaire d'un test de toxicité sur l'Aphanizomenon flos-aquae dans le lac Klamath publié par Gentile (1971) dans un article révisant les toxines algoïdes bleu-vert et vertes. Un test biologique sur souris (n=1) a été effectué sur un isolat d'une colonie d'Aphanizomenon flos-aquae cultivée pendant une courte période en laboratoire. Des signes d'empoisonnement de la souris ont été signalés et étaient semblables à ceux obtenus avec un échantillon d'Aphanizomenon flos-aquae provenant du lac Kezar au New Hampshire (voir ci-dessous), qui a révélé plus tard une production de toxine similaire à la saxitoxine et ses dérivés. Dans les deux articles, plusieurs éléments émettaient des incertitudes importantes concernant cette neurotoxicité possible de l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath. Cela comprend :
1. un manque de vérification taxonomique que l'Aphanizomenon flos-aquae est l'algue dominante dans la culture testée ;
2. un manque d'un titrage biologique sur des souris qui auraient établi la dose létale minimum, la CL50 et la toxicité comparées aux normes de saxitoxine connues ; et
3. un manque de confirmation de la toxicité par les autres laboratoires étudiant ces neurotoxines.
Pour ces raisons, on ne pouvait pas conclure que l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath supérieur produisait une neurotoxine. Comme cité par Gentile (communication personnelle au W.W.C., 27 mars 1996), « Cette toxicité empirique sur l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath devrait être réétudiée rigoureusement avant toute conclusion que l'algue produit une toxine ». Les tests de toxicité périodiques effectués dans les années 1980 et des tests réguliers fréquents depuis 1991 n'ont pas révélé de neurotoxines dans l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath (Carmichael et al., 2000).
Échantillons d'Aphanizomenon flos-aquae provenant d'autres lieux
En dehors de l'absence complète de neurotoxicité comme tester de nombreuses fois avec l'HPLC et les bioépreuves avec souris, les doutes concernant la neurotoxicité possible de l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath a persisté en raison de la découverte de trois échantillons d'Aphanizomenon. flos-aquae trouvé ailleurs (aux États-Unis et en Finlande) qui présentaient une neurotoxicité.
Sawyer et ses collaborateurs (1968) et Gentile et Maloney (1969) ont signalé la toxicité d'une Aphanizomenon flos-aquae sans formation de colonie qui avait tué des poissons et des souris de laboratoire. Cette Aphanizomenon flos-aquae provenait du lac Kezar au New Hampshire. Plus récemment, Rapala et ses collaborateurs (1993) on signalé la toxicité de l'Aphanizomenon flos-aquae isolée de l'efflorescence dans l'eau en Finlande. Ces études ont établi que
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l'Aphanizomenon flos-aquae est toxique seulement dans certaines régions. Cette étude a également démontré qu'il n'était pas possible, dans des conditions expérimentales, de manipuler une souche non toxique d'Aphanizomenon flos-aquae pour qu'elle devienne toxique.
À cette époque, le consensus général parmi les scientifiques était que certaines souches d'Aphanizomenon flos-aquae pouvaient produire des neurotoxines mais que la plupart des souches, dont la souche du lac Klamath, n'étaient pas toxiques.
L'un des aspects qui a attiré l'attention de plusieurs scientifiques fut la mention dans les articles susmentionnées que les échantillons toxiques d'Aphanizomenon flos-aquae étaient une Aphanizomenon flos-aquae atypique ne formant pas de colonie. En d'autres termes, les souches toxiques qui étaient généralement identifiées et classifiées en tant qu'Aphanizomenon flos-aquae n'étaient pas une Aphanizomenon flos-aquae typique et l'identification d'origine a pu être inexacte. En effet, la limite entre l'Aphanizomenon flos-aquae et certaines espèces d'Anabaena est très floue et une mauvaise identification de l'espèce algoïde peut s'avérer problématique. L'anabaena spp. est connue pour sa production de divers types de neurotoxines.
De récents développements en génétique ont fourni des outils permettant de déterminer, en utilisant des similarités génétiques, si les souches toxiques d'Aphanizomenon flos-aquae sont de la même espèce que la souche non toxique. Récemment, Li et ses collaborateurs (2000) on montré que toutes les souches toxiques d'Aphanizomenon flos-aquae sont génétiquement différentes des souches non toxiques et appartiennent plus vraisemblablement au genre Anabaena.
Actions en justice
Il est intéressant de discuter brièvement de deux cas dans lesquels les actions déposées concernaient la neurotoxicité de l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath.
Dans la première, un homme, M. Fineman, faisait état que sa consommation d'Aphanizomenon flos-aquae avait déclenché une neuropathie. L'affaire a révélé que M. Fineman souffrait de diabète depuis sa jeune enfance et avait eu de nombreux épisodes de neuropathie en développement. Après deux ans passés sous contrat avec divers laboratoires dans le monde pour détecter et identifier une neurotoxine dans l'Aphanizomenon flos-aquae, M. Fineman a dû se retirer de l'action en justice en raison d'un manque de preuve. Le tribunal a obligé M. Fineman à publier la déclaration suivante :
« Je soussigné, Samuel Fineman, ai intenté une action en justice contre Cell Tech et les Kollman parce que je croyais avoir subi des préjudices par des substances se trouvant dans les produits de Cell Tech. Les tests et l'enquête (dont le test sur les neurotoxines) n'ont pas confirmé la présence de telles substances. En conséquence, j'ai retiré mon action en justice dans son intégralité. » Dans une deuxième affaire, la susmentionnée entreprise Cell Tech a déposé une action en justice contre un individu, Mark Thorson, qui avait publié inlassablement sur Internet que l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath contenait une neurotoxine similaire à la cocaïne et dangereuse pour le consommateur. Là encore, après un effort considérable pour prouver ses allégations, M. Thorson a perdu son procès. Il a dû publier également la déclaration suivante sur Internet :
« Au cours des dernières années, j'ai posté de temps en temps sur ce groupe et sur d'autres forums, un fichier d'information appelé « An Anatoxin-a Primer » (Une amorce d'anatoxine-a). Je retire maintenant les déclarations faites dans cet article.
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L'amorce d'anatoxine-a impliquait que l'algue Super Blue Green (ou algue bleu-vert) du lac Klamath, produite par Cell Tech, contenait de l'anatoxine-a (une neurotoxine que je caractérise comme toxicomanogène), et que Cell Tech avait délibérément évité les tests recherchant cette toxine car l'anatoxine-a est responsable des effets secondaires signalés par les utilisateurs de cette algue. J'ai depuis été informé que Cell Tech réalise régulièrement des tests qui divulguerait la présence d'anatoxine-a, et que cette toxine n'a jamais été trouvée dans l'algue Super Blue. Mes suggestions sur l'amorce d'anatoxine-a ne reposaient sur aucune base et par la présente, je les retire dans leur intégralité. » Ces deux affaires sont intéressantes en ce sens que toutes les deux sont fondées sur la démonstration explicite que l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath contenait une neurotoxine. Dans les deux cas, de nombreux laboratoires dans le monde ayant la capacité et l'expertise de détecter et de quantifier les neurotoxines ont été engagés sous contrat pour trouver des neurotoxines dans l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath, et ils n'y sont pas arrivés.
Résumé
En résumé, les quelques cas de rapports indiquant une neurotoxicité de l'Aphanizomenon flos-aquae n'appartenaient pas à l'Aphanizomenon mais à l'espèce supposée être l'Anabaena spp. Tous les échantillons qui indiquaient par la technique PCR (génétique) qu'il s'agissait d'Aphanizomenon flos-aquae se sont révélés non toxiques. En outre, deux importantes actions en justice n'ont pas pu détecter la présence d'aucune neurotoxine dans l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath supérieur.
Prises dans leur ensemble, les données disponibles démontrent la non toxicité de l'Aphanizomenon flos-aquae du lac Klamath supérieur.
Références
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Qualité et sécurité de l'algue bleu-vert du lac Klamath Présentation L'algue du lac Klamath est un alicament qui est récolté chaque été du lac Klamath supérieur à Klamath Falls en Oregon et qui est composée presque exclusivement de l'espèce algoïde filamenteuse bleu-vert Aphanizomenon flos-aquae. L'Aphanizomenon flos-aquae est un aliment riche en élément nutritifs, vitamines, minéraux, acides aminés essentiels et protéines. Les bienfaits nutritionnels de l'algue du lac Klamath les plus signalés sont une plus grande énergie, une meilleure clarté mentale, une plus grande mémoire, le soulagement de conditions inflammatoires, et un sentiment de bien-être général.
L'algue du lac Klamath supérieur est absolument non toxique. Toutefois, comme avec de nombreux autres produits provenant de l'agriculture, l'algue du lac Klamath peut contenir des composés naturels, des microorganismes ou des sous-produits d'activités humaines qui ont besoin d'être surveillés et contrôlés. Chaque lot d'algue du lac Klamath est sujet à des batteries de tests scientifiques afin d'assurer que l'algue répond constamment aux normes les plus élevées de sécurité et pureté. En raison de ces tests, l'algue du lac Klamath est l'un des aliments les plus purs et sûrs qui soient disponibles.
L'algue du lac Klamath dans le lac Klamath supérieur
Pour apprécier l'algue du lac Klamath, il est important de prendre en compte l'écosystème unique dans lequel cette algue « fleurit ». Le lac Klamath supérieur, qui couvre environ 325 km2, est le plus grand plan d'eau naturel en Orégon (Gearheart et al. 1995). De nombreuses sources chargées d'eau filtrée par des kilomètres de sols volcaniques riches en nutriments sur les flancs des montagnes Cascade (Gearheart et al. 1995), et six principaux affluents, contribuent à 90 % des courants entrants annuellement dans le lac (1 900 000 000 m3 - 1929-1993) ; Gearheart et al.
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1995). Globalement, le lac Klamath supérieur est décrit comme étant un lac eutrophe productif qui est marqué par de hauts niveaux de nutriments disponibles et de vie végétale. C'est cette richesse en nutriments qui permet à l'Aphanizomenon flos-aquae de pousser en telle abondance dans la nature. Le lac Klamath supérieur est l'un des quelques écosystèmes qui soutiennent la pousse récurrente de l'Aphanizomenon flos-aquae en telle quantité.
Historiquement, le lac Klamath supérieur était un écosystème très productif (eutrophe) et divers en raison de l'entrée naturellement très élevée de nutriments (Gearheart et al. 1995). Bien que le terme eutrophe soit souvent associé à des conditions défavorables de qualité de l'eau, il est toutefois possible qu'un plan d'eau soit écologiquement sain et eutrophe. Dans leur rapport de 1967, Miller et Tash ont décrit une couche de sédimentation riche en nutriments en profondeur dans le lac Klamath supérieur. Ils ont signalé que les principaux nutriments dans le lac Klamath supérieur provenaient de procédés géologiques naturels dans des quantités suffisantes pour maintenir une efflorescence algoïde dense, toutefois ils n'ont pas inclus la charge en nutriment qui était le résultat de sources non ponctuelles locales ou de bassins hydrologiques supérieurs (provenant principalement d'une gestion forestière et agricole médiocres ; Gearheart et al. 1995). Les informations actuelles indiquent que les activités humaines ont augmenté une charge en nutriments dans le lac par rapports aux niveaux historiques connus (Bortleson and Fretwell 1993 ; Gearheart et al. 1995). Toutefois, une grande partie du débat est centré sur l'effet de nutriments supplémentaires sur un environnement déjà productif. La charge en nutriments, interne et externe, peut influer sur les concentrations de nutriments dans le lac (Bortleson et Fretwell 1993) et probablement la composition de la communauté planctonique, toutefois, la paucité des données scientifiques à long terme empêche réellement de déterminer les causes réelles. Kaffka et ses collaborateurs (1995) ont noté que les concentrations en phosphore dans des études disponibles étaient au-dessus des niveaux qui d'après, de nombreux limnologues, limitent la croissance algoïde, et ont conclu que les influences anthropogéniques (de l'homme) dans le bassin avaient peu de conséquences comparées aux processus d'enrichissement naturels. Toutefois, pendant les périodes d'efflorescence algoïde intense dans le lac Klamath supérieur, les concentrations en phosphore dissoutes sont réduites à des niveaux reconnus comme étant limiteurs (Gearheart et al. 1995). D'autres biologistes (Gearheart et al. 1995 ; Bortleson and Fretwell 1993 ; Kann and Smith 1993 ; Miller and Tash 1967) ont documenté des augmentations de productivité et de croissance algoïde au cours du siècle dernier. Bortleson et Fretwell (1993) ont noté que ces augmentations en productivité étaient nuisibles aux populations ichtyologiques et que de tels systèmes productifs avaient le potentiel d'augmenter l'importance des efflorescences algoïdes impactant encore plus les poissons. Pour équilibrer ces changements potentiels, la plupart des biologistes du bassin Klamath ont exprimé leur soutien aux efforts de restauration des conditions naturelles par le biais de la restauration des zones humides et le lancement de pratiques de gestion des terres appropriées dans le bassin hydrologique.
Des terres agricoles et forestières gérées bordant le bassin hydrologique du lac Klamath supérieur (bien que plus de 70 % du bassin hydrologique soit des propriétés fédérales), les écoulements de ces activités pénètrent dans le lac Klamath supérieur. Bien qu'il existe des questions sur les effets de la charge de nutriments (parfois appelée techniquement « pollution à source non ponctuelle ») sur la qualité de l'eau dans le lac et la productivité du lac, cela n'a pas d'effet sur la sûreté et la pureté de l'Aphanizomenon flos-aquae pour la consommation. Le terme « pollué » possède une charge émotionnelle et politique, mais dans l'écosystème du lac Klamath supérieur, il décrit une condition avec des concentrations de nutriments dissous (phosphore et nitrogène) qui ont augmenté et dépassent les niveaux historiques. Ces nutriments ont ensuite eu un impact sur la communauté aquatique du lac en facilitant la croissance algoïde et en affectant les propriétés chimiques associées (oxygène dissoute, pH, ammoniac, etc.) de l'eau du lac. Lorsque l'on dit que le lac Klamath supérieur est pollué, ce terme fait généralement référence à la quantité de nutriments présente, à son influence sur la croissance algoïde et à l'impact de cette dernière sur la vie aquatique du lac. L'eau du lac Klamath supérieur ne contient pratiquement pas
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de contaminants ni de polluants toxicologiques fabriqués par l'homme. Les nutriments qui entrent dans le lac Klamath supérieur sont les mêmes matériaux que ceux que l'on appelle engrais lorsqu'ils se trouvent dans la terre végétale (composés de nitrogène et phosphore). Bien que ce ne soit pas recommandé pour une consommation directe par l'homme, il s'agit de composants absolument nécessaires à un milieu de croissance pour la flore, dont l'algue du lac Klamath supérieur. Le lac Klamath supérieur est aux algues ce qu'un sol riche est aux légumes. L'une des raisons pour lesquelles le lac Klamath supérieur est parfois appelé, ou considéré comme étant pollué, quelle que soit sa source de nutriments, est due à l'incroyable production d'Aphanizomenon flos-aquae dans le lac. Une telle abondance algoïde est généralement associée à une pollution. L'influence la plus observable de cette croissance algoïde abondante est le changement des propriétés chimiques de l'eau autour des masses d'algue en efflorescence. Avec la présence de la lumière du soleil, les algues utilisent du dioxyde de carbone et produisent de l'oxygène en sous-produit de la photosynthèse (la conversion de l'énergie lumineuse en énergie chimique). En raison de la solubilité de limitée de l'oxygène dans l'eau à températures élevée, relativement peu d'oxygène est dissoute dans l'eau et le reste est libéré dans l'atmosphère. Pendant la nuit, par contre, il n'y a pas de photosynthèse des algues mais elles consomment plutôt de l'oxygène et réduisent la quantité d'oxygène dissoute dans l'eau. Lorsque l'efflorescence algoïde décline et les cellules commencent à mourir, la demande nocturne en oxygène du reste des algues, associée à la demande en oxygène de la matière en décomposition dans l'eau, peut réduire les niveaux d'oxygène dans le lac Klamath supérieur à des niveaux tels qu'ils affectent la santé de la faune aquatique. La fluctuation en monoxyde de carbone change à son tour le pH du lac qui peut avoir une influence directe ou indirecte sur la santé des poissons dans la zone. Étant donné les conditions estivales et une importante efflorescence algoïde, la composition chimique de l'eau peut changer nettement et l'oxygène dissoute, le pH et l'ammoniac peuvent atteindre des niveaux qui peuvent toucher directement les espèces de poissons (Monda et Saiki, 1993). Si les poissons ne sont pas directement touchés, ils peuvent être stressés par les conditions environnementales et leur résistance à des parasites et maladies communément rejetés peut être limitée. Ces poissons se regroupent près (ou dans) des zones d'arrivée d'eau de meilleure qualité, mais leur densité et condition de stress les rend susceptibles aux épidémies et à la mortalité massive. Dans le lac Klamath supérieur une telle mortalité massive des poissons (1971, 1986, 1995) est généralement attribuée à des vague de la myxobactériose à Flexibacter columnaris (Logan and Markle, 1993). Ces épidémies sont courantes dans les alevinières dans des conditions de surpopulation et de température élevée (Piper et al. 1982), et sont provoquées par une bactérie courante qui touche spécifiquement les poissons. Dans certaines circonstances, la myxobactériose à Flexibacter columnaris, qui est normalement sous contrôle, peut suivre une course explosive et entraîner des pertes catastrophiques en un ou deux jours après son apparition (Piper et al. 1982).
Bien que l'espèce d'algue qui est maintenant indirectement associée à cette mortalité massive des poissons dans le lac Klamath supérieur soit l'Aphanizomenon flos-aquae, ce type de réaction aux températures élevées et aux conditions aquatiques modifiées photo synthétiquement n'est pas limité à cette période, au site ni à l'espèce. La première mortalité massive de poissons signalées dans le lac Klamath supérieur a été rapportée par Gilbert en juin 1894 (Logan et Markle 1993). Bien qu'elle soit en partie le résultat d'un stress post-frai, il est également vraisemblable que des conditions chaudes et calmes ainsi que l'efflorescence algoïde qui en ont résulté aient pu dégrader les conditions aquatiques et contribuer à cette occurrence. Bien que cela implique que les efflorescences algoïdes dans le lac Klamath supérieur soient naturelles et se soient produites avant toute activité anthropogénique à grande échelle autour du lac, la mortalité massive des poissons signalée semble avoir augmenté en fréquence dans le temps. La mortalité massive de poissons l'été se produit également dans de nombreux lacs riches en nutriments au Canada (Barica 1975). Dans un effort visant à aider au redressement du stock ichtyologique natif du lac Klamath supérieur, un important travail de collaboration avec des agences environnementales
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locales a été lancé pour explorer et lancer des actions qui amélioreront les conditions provoquant cette mortalité massive des poissons.
Références
Barica, J. 1975. Summerkill risk in prairie ponds and possibilities of its prediction. Journal Fisheries Research Board of Canada. Vol 32, pp. 1283-1288. Bortleson G.C., and M.O. Fretwell. 1993. A review of possible causes of nutrient enrichment and decline of endangered sucker populations in the Upper Klamath Lake, Oregon. U.S.G.S. Water-Resources Investigations Report 93-4087, p. 24. Gearheart, R.A., J.K Anderson, M.G. Forbes, M. Osburn, and D. Oros. 1995. Watershed strategies for improving water quality in Upper Klamath Lake, Oregon. Humboldt State University, Environmental Resources Engineering Department. 3 Volumes. Kaffka, S.R., Lu, T.X., and H.L. Carlson. 1995. An assessment of the effects of agriculture on water quality in the Tule lake Region of California. Research Progress Report 108. Univ. Of California. p. 85. Kann, J. and V.H. Smith. 1993. Chlorophyll as a predictor of elevated pH in a hypertrophic Lake: Estimating the probability of exceeding critical values for fish success. Klamath Tribes Research Report: KT-93-02. The Klamath Tribes, Chiloquin, Oregon. p. 22. Logan, D.J., and D.F. Markle 1993. Fish faunal survey of Agency Lake and northern Upper Klamath Lake, Oregon. In Environmental research in the Klamath Basin, Oregon - 1992 Annual Report. S.G. Campbell (ed.) p. 341. Matsunaga, S., Moore, R.E., Niernezura, W.P., and W.W. Carmichael. 1989. Anatoxin-a(s) a potent anticholinesterase from Anabaena flos-aquae, J. Amer. Chem. Soc., vol. 111, pp. 8021-8023. Miller, W.F, and J.C. Tash. 1967. Interim report: Upper Klamath Lake Studies, Oregon, Federal Water Pollution Control Administration. p. 37. Monda, D.P. and M.K. Saiki. 1993. Tolerance of Juvenile Lost River and Shortnose suckers to high pH, ammonia concentration, and temperature, and to low dissolved oxygen concentration. In Environmental research in the Klamath Basin, Oregon - 1992 Annual Report. S.G. Campbell (ed.) p. 341. Oshima, Y., Sugino, K., and T. Yasumoto. 1989. Latest advances in HPLC analysis of paralytic shellfish toxins. In: Mycotoxins and phycotoxins, Natoris, S., Hashimoto, K., and Ueno, T. [Eds], Elsevier, New York, pp. 319-326. Piper, R.G, I.B. McElwain, L.E. Orme, J.P. McCraren, L.G. Fowler, and J.R. Leonard. 1982. Fish Hatchery Management. U.S. Department of the Interior, Fish and Wildlife Service. Washington D.C. p. 517.
Cliquez ici pour plus d'informations sur les directives révisées de la FDA sur les CAM
Réponse à l'article paru dans The Scientist
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Clarification de l'article paru dans le bulletin AARP de novembre 2008 Q&R SUR LES DIRECTIVES RÉVISÉES DE LA FDA LES PRODUITS DES MÉDECINES DOUCE ET ALTERNATIVE ET LEUR RÉGLEMENTATION PAR LA FDA http://www.fda.gov/OHRMS/DOCKETS/98fr/06d-0480-gld0001.pdf Q : Cette directive révisée change-t-elle la façon dont la FDA réglemente les suppléments diététiques tels que StemEnhance ?
R : Non – La directive révisée fournit la définition proposée par la FDA pour les produits de médecine douce et alternative et explique comment ces produits, suivant la façon dont ils sont étiquetés et mis sur le marché et suivant leur utilisation spécifique prévue, entreront dans les catégories réglementaires existantes de la FDA, sous «
biologiques », « instruments » ou « aliments » (y compris « compléments alimentaires »).
Q : Les compléments alimentaires peuvent-ils encore être mis sur le marché avec des déclarations de structure/fonction indiquant par exemple qu'ils « viennent promouvoir la libération naturelle des cellules souches adultes »?
R : Oui - La directive révisée n'a aucun impact sur la structure juridique/les déclarations de fonction pour les aliments ou les suppléments diététiques et ne change pas la façon dont les produits accompagnés de ce type de déclaration sont réglementés.
Q : Si des distributeurs individuels ou le fabricant font des déclarations orales ou écrites concernant un supplément diététique indiquant que le produit aidera à éviter ou à traiter une maladie, comment le produit sera-t-il réglementé par la directive révisée ?
R : Comme un médicament illégal - Toute déclaration indiquant que le produit peut éviter ou traiter une maladie, par exemple traiter ou éviter le cancer, le diabète, l'arthrite ou toute autre maladie, aurait pour conséquence la réglementation par la FDA du complément alimentaire en médicament illégal, à l'exception près que s'il existe une déclaration de santé approuvée par la FDA, les déclarations indiquant que le produit empêche une maladie pourraient être légales. Les déclarations indiquant que les compléments alimentaires peuvent traiter des maladies étaient illégales avant la publication de la directive révisée et le restent encore. Les déclarations indiquant que le produit réduit le risque ou empêche une maladie ne doivent pas être faites dans le contexte de la vente de compléments alimentaires sans confirmer d'abord que ces déclarations sont légales suite à une déclaration de santé approuvée par la FDA.
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Feb. 5 Football Signing Day Complete transcript of Kyle Flood's press conference on 2014 recruits COACH FLOOD: Good afternoon. This is always one of the most exciting days of the year where we get an opportunity to introduce 26 new people official y into our program. Some of them have already been enrolled. But today we get to talk about them a little bit. And I think I'd be remiss if I didn